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Dans l'Antiquité Égyptienne (4000 à 500 av. J.-C.) les artistes ignoraient la perspective. Les personnages étaient représentés de profil, sans profondeur. Leur taille dans l'image dépendait de l'importance qu'ils avaient (symboliquement et dans ce que raconte l'image) et pas de leur éloignement. Le paysage est réduit à quelques éléments. Il n'y a pas de véritable impression de profondeur. La représentation se déploie comme une bande dessinée en registres qui s'étagent de haut en bas.
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C'est en Grèce que des philosophes et des mathématiciens établirent (de 500 à 100 av. J.-C.) que notre "image visuelle" était constituée de lignes droites partant de l'œil et formant un cône", posant ainsi les bases de la réflexion sur la perspective.
Son application dans l'art reste très intuitive, mais on sait que les lignes doivent converger pour exprimer le relief.
On retrouve ces efforts dans cette fresque de la région de Pompéi incluant des effets de trompe-l’œil, et un souci de réalisme. -
La colonne Trajane est une colonne triomphale romaine située sur le forum de Trajan à Rome. Elle est célèbre pour le bas-relief qui s'enroule en spirale autour de son fût, de la base vers le sommet et commémore de façon linéaire et narrative la victoire de l'empereur Trajan sur les Daces lors des deux guerres daciques (101-102 et 105-106). La frise narrative et chronologique est longue de près de 200 mètres et divisée en 155 scènes formant une très longue séquence. 2570 personnages visibles.
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Broderie mettant en scène un récit historique au déroulement fluide, linéaire et chronologique. C'est l'histoire d'une conquête, celle de l'Angleterre par Guillaume le conquérant, duc de Normandie, devenu roi d'Anglerre en 1066, à l'issue de la bataille d'Hastings. Il est peut-être inspiré des manières de conter ou de chanter les évènements. Le rythme de la récitation, de la « chanson de geste », incite sans doute la reine Mathilde à représenter cette histoire en narration continue.
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Le Kamishibai, littéralement « théâtre de papier » est un genre narratif japonais. Son origine remonte au XIIe siècle, à cette époque, les moines bouddhistes s'en servaient pour transmettre le savoir aux illettrés. Chaque planche qui le compose met en scène un épisode du récit, le recto pour l’illustration, le verso pour le texte. Le narrateur glisse les planches cartonnés dans un butai, un théâtre en bois, tout en lisant le texte sous les yeux ébahis des spectateurs.
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A partir du IVe siècle, avec la fin de l'Empire romain d'occident, la tradition antique de la représentation est interrompue. L'Eglise se développe et devient progressivement la religion dominante. Elle se méfie de la représentation et de l'illusionnisme des images. Elle encourage plutôt une représentation narrative ou symbolique des sujets religieux.
La connaissance de la perspective ne progresse pas pendant le Moyen-Âge: l'aspect symbolique prédomine sur la représentation du réel. -
Derrière le Christ en croix, un spectaculaire plafond voûté à caissons. Vasari, dans la seconde édition des Vies, détaille cet extraordinaire trompe-l'œil. « C'est une voûte en berceau, tracée en perspective, et divisée en caissons ornés de rosaces qui vont en diminuant, de sorte qu'on dirait que la voûte s'enfonce dans le mur. » Cette Trinité, considérée comme une étape dans l'histoire de l'art, représente la traduction en peinture des lois de la perspective découvertes par Brunelleschi.
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A la Renaissance se généralise la perspective centrale (ou linéaire, conique) qui fonctionne avec au moins un point de fuite vers lequel se rejoignent des fuyantes. "La Cité idéale peinte" vers 1475- 1480 est une perfection en matière de perspective centrale. L'espace est représenté de manière convaincante et pourtant, il y a quelque chose d'irréel, de trop parfait dans cette cité aux proportions trop régulières et visiblement inhabitée...
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Célèbre représentation des proportions idéales parfaites du corps humain parfaitement inscrit dans un cercle (centre : le nombril) et un carré (centre : les organes génitaux), l'Homme de Vitruve est un symbole allégorique emblématique de l’Humanisme, de la Renaissance, du rationalisme, de « L'Homme au centre de tout / Homme au centre de l’Univers », de la mesure et de la représentation du monde. Dessin annoté, plume, encre et lavis sur papier.
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La perspective aérienne, ou atmosphérique traduit la profondeur de l'espace par le dégradé progressif des couleurs et l'adoucissement progressif des contours. Les Italiens auraient inventé la perspective linéaire tandis que les Flamands auraient inventé la perspective aérienne. Chez Patinier, la profondeur est liée à un phénomène lumineux. Plus la distance augmente, plus les détails tendent à s’atténuer jusqu’à disparaître à l’horizon, et les couleurs vont en se dégradant et en se refroidissant.
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Les joyaux de la Couronne de France dont l'origine remonte à François Ier. Objet d'un vol en 1792 lors de la Révolution, revendue en partie à la fin du xixe siècle, la collection est aujourd'hui dispersée. La pièce la plus célèbre est le diamant blanc le « Régent », conservé depuis 1887 au musée du Louvre.La collection des joyaux de la Couronne est constituée en 1530 par François Ier.
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Ce tableau représente deux ambassadeurs français, Jean de Dinteville et Georges de Selve. Ils posent devant les symboles de leur culture et de leur érudition : des livres, un cadran solaire, un globe terrestre, une sphère céleste, des instruments de mesure, un luth et des flûtes. A leurs pieds, on distingue la représentation d’un crâne humain déformé par un effet d’anamorphose. Ce crâne est une « Vanité » qui semble dire à ces puissants ambassadeurs « Souviens-toi que tu dois mourir ».
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Chaque tableau est constitué d’un portrait de profil, composé d’éléments rappelant la saison. Les 4 saisons sont représentées sous les traits d'un homme, depuis l'adolescence jusqu'à la vieillesse. De la version originale subsistent L'Hiver et L'Été, exposés à Vienne, et Le Printemps, exposé à Madrid. Parmi les versions les plus connues figurent celles du Louvre, copies faites par le peintre. Les tableaux se caractérisent par un encadrement floral qui n’existait pas sur la première version.
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La Vanité ou Allégorie de la vie humaine, huile sur toile de 28 cm x 37 cm, réalisée on ne sait quand au cours de la première moitié du XVIIe s, est actuellement exposée musée de Tessé dans la ville du Mans. C'est une vanité: elle représente la futilité de la vie, particulièrement humaine (d'où la présence du crâne et de la fleur) et la fugacité du temps (signifiée ici par le sablier). Le terme vanité est parfois remplacé par l'expression latine Memento mori, ''Souviens-toi que tu vas mourir''.
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L'art est long, la vie est brève. On parle de vanité pour une catégorie particulière de nature morte, dont la composition allégorique suggère que l’existence terrestre est vide, est vaine, que la vie humaine est précaire a peu d’importance. Les crânes, toiles d'araignées, bougies, citrons pelés sont autant de signes de l’éphémère. On trouve aussi des objets plus durables : mappemondes, armes, instruments de musiques, qui symbolisent les pouvoirs politiques et religieux qui, eux aussi, passent...
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"La jeune fille à la perle" a été peinte par Johannes Vermeer, peintre néerlandais du XVII faisant partie du mouvement Baroque. Ce tableau représente une jeune fille anonyme portant une perle à l'oreille ainsi qu'un turban sur la tête. Le tableau est un portrait en buste. La peinture fait partie du genre picturale des "Tronies" (les visages en néerlandais) mais avec l'inspiration donnée par Léonard de Vinci; on la surnomme "La Joconde du Nord".
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La Grande Galerie est représentée telle qu'elle existait au moment de sa première ouverture au public en 1795. Elle contient de très nombreuses œuvres d'art : des tableaux exposés à touche-touche le long des murs et des sculptures érigées dans des niches encadrées de pilastres ou au centre de l'espace. Volonté de partager une quantité d'oeuvres, en exploitant au maximum l'espace de présentation, au détriment de la qualité de celle-ci ? Quelques visiteurs sont présents, dont plusieurs copistes.
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Alors que les lois de la perspective évoluaient en Occident du Moyen-Age à la Renaissance, au Japon, on développait et on s'attardait sur la représentation en perspective cavalière. Les horizontales, verticales, diagonales sont parallèles entre elles. Ce fut la seule représentation du volume connue au Japon jusqu'aux échanges avec les occidentaux au XVIIIème siècle. Cette perspective sans point de fuite ne peut rendre les effets de profondeur, de rétrécissement que nous percevons en réalité.
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Saisis dans un « galop volant », les chevaux de course, membres antérieurs et postérieurs tendus à l’horizontale, paraissent en lévitation entre ciel et terre. Le sujet du tableau de Géricault semble être le mouvement fugace. Si ce galop est physiquement impossible, comme la photographie le montrera quelques décennies plus tard, il permet à l’artiste de peindre la sensation d’un mouvement rapide, saisi dans l’instantané, synthèse entre deux moments distincts de la course de l’animal.
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"Le Désespéré" est un tableau du peintre français Gustave Courbet réalisé entre 1843 et 1845. C'est un autoportrait de l'artiste sous les traits d'un jeune homme qui regarde fixement devant lui, les mains crispées dans les cheveux. La toile appartient à une collection privée d'investissement, mais a été exposée au musée d'Orsay en 2007. Dans ce tableau Courbet nous fait ressentir son désespoir à travers ses gestes, sa coiffure, son regard ou encore ses vêtements ou même les couleurs sombres.
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Le 18 juin 1878, devant la presse convoquée, il dispose 24 appareils le long d'une piste équestre blanchie à la chaux. De minces fils tendus sur le parcours d'un étalon sont heurtés violemment par son poitrail lancé au galop et se détachent après avoir déclenché à distance les chambres photographiques l'une après l'autre. Plusieurs essais sont nécessaires, se soldant parfois par la casse des précieuses chambres. Enfin, Muybridge obtient les fameux clichés de la décomposition photo du mouvement !
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En 1882, Marey invente la chronophotographie. Il prend en rafale des instantanés sur une même plaque fixe de verre, avec un appareil de prise de vues muni d'un seul objectif — contrairement à Muybridge qui utilise plusieurs appareils et autant d'objectifs. Son fusil photographique lui permet de “réunir sur une même photographie une série d'images successives représentant les différentes positions qu'un être vivant occupe pendant un mouvement de locomotion”.
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La série des Cathédrales de Rouen est un ensemble de 30 tableaux peints par Claude Monet représentant principalement des vues du portail occidental de la cathédrale Notre-Dame de Rouen (deux autre tableaux représentent la cour d'Albane), peintes à des angles de vues et des moments de la journée différents, réalisées de 1892 à 1894. Il est impossible de déterminer la date exacte d'achèvement de chaque toile, car l'ensemble fut remanié et terminé en atelier.
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Pour les américains, Yellow Kid est la date de naissance de la bande dessinée, car on y voit apparaître le premier phylactère. Le premier véritable phylactère dans l'œuvre d'Outcault date du 25 octobre 1896 et il n'est pas dit par un humain, mais par un phonographe (et en fait par un perroquet qui se cache dans ce phonographe). Dans la même page, par mimétisme, Mickey DUGAN, le "Yellow Kid" parlera à son tour dans un phylactère mais par la suite il continuera à parler sur sa chemise.
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Pour les Fauves, la couleur prime sur le dessin, ainsi que sur la réalité. Dans un tableau fauviste, les couleurs sont vives, exacerbées, mais surtout, utilisées pures. Cette façon de peindre est non conventionnelle pour l’époque.
De plus, caractéristique encore plus choquante pour la période, le peintre ne respecte plus la réalité observable mais bien une réalité intérieure, picturale, puisque le choix des couleurs est arbitraire : les arbres peuvent ainsi être rouges, bleus, ou la peau verte… -
le stop motion est une technique cinématographique qui consiste à obtenir une animation à partir d’objets immobiles. C'est a dire de prendre une photo par seconde voir moins afin d'obtenir un mouvement de cet objet. Le stop motion est apparue pour la premiere fois en 1908 avec le tout premier court-métrage en Stop Motion: Les Allumettes animées, d’Emile Cohl. Bien d'autres films connus ont été faits en Stop motion tel que "King Kong" ou "L'étrange Noël de monsieur Jack".
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Dans ce tableau de l'un des artistes du Futurisme, on voit un chien en laisse avec sa maîtresse. Or l'objectif principal des futuristes est la représentation du mouvement et de la vitesse. Ici l'auteur a représenté le tableau comme une photographie : il a superposé en succession plusieurs images des 4 pattes du chien, de sa queue, de la laisse, des 2 pieds de la maîtresse pour donner l'impression de déplacement. On perçoit bien l'influence des chronophotographies du français Etienne-Jules Marey.
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Cette oeuvre est révolutionnaire : il s'agit de la première manifestation de la technique du collage dans la sphère artistique. De forme ovale, l'oeuvre est entourée d'une corde faisant office de cadre. Un morceau de toile cirée au motif de cannage y est intégré. L'intégration de la corde et du morceau de toile cirée, d'éléments non traditionnels, est tout à fait inusuelle. Cette intrusion de matériaux utilitaires remet en cause la conception classique d'un savoir-faire pictural sacralisé.
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La hauteur du tabouret est de 53cm et la hauteur du montage de la roue est de 73cm. L'original a été réalisé à Paris en 1913, l'original a été perdu. Une réplique a été réalisée en 1964 sous la direction de Marcel Duchamp qui constitue la 6e version de ce Ready-made. Cette oeuvre est un assemblage d'une roue de byciclette sur un tabouret.
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Au printemps 1918, Picasso réalise cette peinture, volontairement inachevée et inspirée d’une photographie, avec le drapé de la robe, un éventail coloré et un beau tissu à grandes fleurs qui rappellent les portraits d’Ingres. Serait-ce un tournant dans son oeuvre, un «retour à l’ordre» ou aux anciens canons académiques délaissés par Picasso ? La virtuosité du trait, la précision figurative, la douceur des modelés semblent le confirmer. Picasso ne l'achève pas et se tourne déjà ailleurs...
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Cette huile sur toile représente la Tour Eiffel sous une forme colorée avec plusieurs couleurs vives: jaune, vert, orange... L'artiste utilise des formes géométriques comme les rectangles, les cercles...
Robert Delaunay (1885-1941) faisait essentiellement de la peinture, de l'écriture et des arts décoratifs: décoration d'intérieurs, en utilisant différents matériaux (la céramique, le bois, le verre, le métal, la pierre...). -
Il s'agit du premier film parlant, chantant et musical, avec en vedette le comédien Al Jolson. "Attendez un peu, vous n'avez encore rien entendu." ("Wait a minute, wait a minute. You ain't heard nothin' yet !") La réplique, prononcée par Al Jolson qui interprète le rôle-titre du Chanteur de jazz, a marqué les esprits. Ce film, sorti aux Etats-Unis le 6 octobre 1927, est le premier long-métrage "parlant" de l'histoire du cinéma. La bande sonore comporte juste 354 mots ! Le reste est bien muet.
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La Trahison des images (1928–29, huile sur toile, 59 × 65 cm ; Los Angeles County Museum of Art) représente une pipe, accompagnée de la légende suivante : « Ceci n’est pas une pipe. » L'intention la plus évidente de Magritte est de montrer que, même peinte de la manière la plus réaliste qui soit, une pipe représentée dans un tableau n’est pas une pipe. Elle ne reste qu’une image de pipe qu'on ne peut ni bourrer, ni fumer, comme on le ferait avec une vraie pipe.
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Sculpture en fil de fer, ce portrait en trois dimension était exposé de telle manière à ce que son ombre projette toujours une image différente selon la provenance de la lumière.
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Célèbre pour son "Déjeuner en fourrure", détournement d'objet très connu, Meret Oppenheim s'est amusée ici avec d'autres objets utilitaires. En 1936, Meret Oppenheim réalise cette œuvre-objet intitulée "Ma Gouvernante", une paire d’escarpins blancs retournés et ficelés, sur un plateau argenté, les talons ornés de manchons, à la façon d’une volaille rôtie. Typiquement surréaliste, cet assemblage fétichise et animalise la femme de façon humoristique.
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Picasso est une peintre, sculpteur, dessinateur et graveur espagnol. Il est le fondateur du cubisme avec George Braque.
Dora Maar était l'une des nombreuse muses de Picasso. Elle était une photographe et artiste peintre française. Elle est devenue muse et amante de Picasso et celui-ci l'a peinte à plusieurs reprises. Ce tableau de "Dora Maar assise" se trouve au Musée national Picasso à Paris. -
Pour cette toile, Picasso a été fasciné par la métamorphose du visage de Dora Maar lorsqu'elle apprit la mort de son père.
Les expressions « éclater en sanglots », « avoir le visage défait ou décomposé » prennent ici tout leur sens.
Ce portrait symbolise la douleur des femmes espagnoles, confrontées à la guerre civile est à la montée du fascisme. L’œuvre est une métaphore du déchirement de l'Espagne et de façon plus générale, de la souffrance générée par toutes les guerres. -
Cette huile sur toile représente un chat saisissant un oiseau. Ceci pourrait être une manière de révéler la violence de la guerre. En effet, je site les paroles de l'auteur, Picasso (1881-1973) : "Je n'ai pas peint la guerre car je ne suis pas ce genre de peintres qui va, comme un photographe, à la quête d'un sujet. Mais il n'y a pas de doute que la guerre existe dans les tableaux que j'ai faits alors". Picasso est un peintre très célèbre, c'est pour cela qu'il y a de nombreux musées à son nom.
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Tête de taureau est une œuvre de Pablo Picasso créée en 1942 par l'assemblage d'une selle en cuir et d'un guidon de vélo. Cette œuvre est située au musée Picasso.
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Picasso, il a fini par là où, normalement, il aurait dû commencer. C'est vrai, seulement pour arriver à son taureau d'une seule ligne, il a fallu qu'il passe par tous les taureaux précédents. Et quand on voit son onzième taureau on ne peut s'imaginer le travail qu'il lui a demandé.
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Le monde artistique regorge d’outils et de machine à faire de l’art fabriqués par les artistes eux-mêmes qui sont pour le moins étonnants. L’outil peut être simplement l’accessoire d’une réalisation comme c’est le cas pour les dripping de Jackson Pollock.
C’est en 1947 que Jackson Pollock abandonne l’utilisation classique du pinceau pour le dripping (projection de peinture sur la toile). A noter que ses outils n'entrent pas en contact avec ses supports: la peinture dégouline ou est projetée... -
Cette sculpture de Pablo Picasso est faite de plâtre et d'objets divers: métal, céramique et deux petites voitures d'enfant. Des matériaux de récupération hétérogènes qu'il est parvenu à assembler et auxquels il a donné un aspect homogène, avec l'aide de plâtre et vraisemblablement de vernis pour bois ! Cette œuvre révèle son art de l'assemblage et de la métamorphose des objets du quotidien. Il en existe une version tirée en bronze.
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Cette sculpture de Pablo Picasso représente une guenon serrant contre elle son petit. L'oeuvre est composée d'objets de récupération, de plâtre et de peinture. On remarque notamment 2 voitures qui composent la tête de la sculpture.
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Une des compositions les plus fascinantes de Escher est la Galerie d'impressions: c’est un tableau représentant un tableau se contenant lui-même; à moins que ce ne soit une exposition se contenant elle-même; ou peut-être une ville se contenant elle-même; ou bien un jeune homme se contenant lui-même. Le musée est dans la ville, la ville est dans le tableau, le tableau est dans le musée. Sommes-nous aspirés dans l’œil du cyclone ? Aujourd'hui on utilise ou non la perspective, on joue avec elle !
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Les personnages de Botero ont toujours le même physique grassouillet et des visages sans aucune émotion. Il s’est fait en partie connaitre grâce à ses reprises de tableaux de grand maitres, (où les expressions originales sont alors conservées) particulièrement lorsqu’il a peint la Joconde. C’est d’ailleurs ce tableau qui le fit remarquer aux États-Unis, lorsqu’elle fut achetée par le Museum of Modern Art en 1961 et diffusée par la suite dans le New York Times. La carrière de Botero était lancée…
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Daniel Depoutot, né en 1960 à Constantine en Algérie, est un artiste plasticien français. Il crée des automates et toutes sortes de sculptures extravagantes à partir de morceaux de plastiques, métal et bois auxquels il redonne une seconde vie. Il expose ses œuvres partout en Europe, de Barcelone à Berlin, de l’exposition universelle de Hanovre en passant par le Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg où il vit et travaille.
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Exposé pour la première fois à la galerie Breteau en 1962, "Le Manteau" ou "Demeure V", cette sorte de "seconde peau", est considéré comme l'une des premières "sculpture-vêtements" du XXè siècle et selon le critique d'art comme "un des hauts faits de la saison picturale" cette année-là. En effet, plus qu'une sculpture, ce manteau est une réelle oeuvre graphique, notamment par le jeu des cordes tressées, les différences de tissus et de métal. C'est aussi un inépuisable répertoire de matières.
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Cette oeuvre est une réalisation de l'artiste français BEN Vautier, né le 18 juillet 1935 à Naples.Il décrit son oeuvre de cette façon:Toute personne qui passe à travers ma porte, devient oeuvre d’art. Il a déposé cette réalisation à Nice sur la Promenade des Anglais en 1962 et l'a intitulé "Je signe la vie".
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Claes Oldenburg est né le 28 janvier 1929. C'est un sculpteur suédois vivant à New-York, qui appartient au mouvement artistique du Pop Art.
Il est connu pour ses sculptures monumentales qui sont des répliques d'objets du quotidien et de l'environnement urbain, en papier maché et en carton.
L'oeuvre, ici, s'appelle "Giant BLT" et est la première sculpture qu'il a créé en vinyl principalement. -
Jacques Martin est un scénariste ainsi qu'un dessinateur de bande dessinée. Alix est une bande dessinée se déroulent à l'époque de Jules César. Alix est également le personnage principal de l'intrigue, esclave d'origine gauloise devenu citoyen romain et devenu proche de Jules César.
C'est une BD franco- belge éditée par Casterman comportant 37 albums. Sa première publication se fait en 1965. -
Roman Opalka est un homme qui à décidé d'écrire tous les nombres de 1 jusqu'à l'infini. C'est une oeuvre totalement impossible qu'il a commencé en 1965. L'artiste a tout de même réussi à arriver jusqu'au nombre 5607249. Cette oeuvre est une représentation du temps qui passe dans le sens où l'artiste met énormément de temps à créer cette oeuvre. Roman Opalka a expliqué que le chiffre 1 représentait le big-bang et que la suite des nombres représentait notre histoire universelle au fil du temps.
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De 1965 à sa mort en 2011, il se consacre à l'œuvre de sa vie dont le but est d'inscrire une trace d'un temps irréversible. Ses moyens d'expressions sont majoritairement ses "Détails" (des suites de nombres peintes sur toile, format 196 x 135 cm), des autoportraits photographiques et des enregistrements sonores de sa voix. Sans oublier ses pinceaux archivés. Il a patiemment compté de 1 à 5607249 en 46 ans, avant que la mort ne l'arrache à son oeuvre. Sa vie serait-elle devenue une oeuvre d'art ?
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En 1965 Roman Opalka décide de laisser une trace dans l'histoire , pour cela il prend le parie de compter de 1 à l'∞. C'est ainsi qu'il consacra 46 ans de sa vie à peindre des nombres blancs sur des toiles d'abord noires puis de plus en plus claires au fils de son œuvre. À chaque toile il prenait une photo de lui avec les mêmes codes, c'est ainsi que vers la fin de sa vie il avait peint des centaines de toiles et pris autant de photos de lui . En 2011, à sa mort, il avait atteint 5607249.
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Ce portrait est tiré d'une photo prise par le photographe Alberto Korda. Elle a ensuite été reprise par Andy Warhol (pop art), qui a décliné en série 9 fois ce portrait, à chaque fois très coloré. L'oeuvre n'est pas exposée dans un seul musée, mais est présentée dans plusieurs expositions. Telle que celle de Paris où elle a été exposé au musée d'art moderne du 02 octobre 2015 au 07 février 2016.
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Gianni Colombo, "Spazio elastico", 1967-1968. Cloisons, lampes de Wood, moteurs et mécanisme étirant des fils blancs. 400 cm × 400 cm × 400 cm. Milan, Archivio Gianni Colombo. Dans son dispositif d'immersion, Gianni Colombo sollicite la participation du spectateur qui se déplace dans une structure pénétrable et instable dessinée par des fils élastiques et lumineux plongés dans l'obscurité.
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Oeuvre faite de boue, de cristaux de sel, de rochers de basalte, de bois et d'eau, située au nord-est du Grand Lac Salé (USA). En 1970, le niveau de l'eau du lac était anormalement bas à cause de la sécheresse. Le niveau est ensuite remonté et a submergé l'œuvre. Sécheresse de 2002, la jetée a émergé à nouveau et est restée complètement exposée à l'air libre pendant presque un an. Le niveau de l'eau est monté à nouveau au printemps 2005 et a partiellement submergé l'œuvre une nouvelle fois...
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Dali nous propose son concept de double image. Le titre nous incite à prendre de la distance et à changer de point de vue afin d'apprécier autrement son oeuvre. Le visage de Lincoln se voit en petit format dans la partie inférieure gauche de l’œuvre, où se répète également la figure de Gala, dans une pose différente. Dans la partie supérieure, dans un magnifique crépuscule, Dalí fait référence à son célèbre Christ de saint Jean de la Croix. De près, Gala s'impose. De loin, c'est plutôt Lincoln.
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L'architecture du centre suscite depuis son inauguration une vive polémique : canalisations, escaliers électriques, passerelles métalliques, tout ce qui est traditionnellement dissimulé est ici ostensiblement montré à la vue de tous.
L'intention des architectes était de placer les services de logistique hors du corps du bâtiment afin de consacrer la totalité de la surface de l'intérieur à sa vocation de musée.
Les couleurs vives et les formes extérieures viennent rompre avec l'environnement. -
L'œuvre consiste en 400 poteaux d'acier inoxydable, plantés selon une grille rectangulaire de 1 mille de long sur 1 km de large. Mais c'est aussi une photographie connue de ce « champ d'éclairs ». L'œuvre photographique existe sur le long terme, tandis que l'œuvre originale de l'artiste n'existe que le temps de l'orage. Ouverte six mois par an, à la demande de l'artiste, l'installation ne peut être visitée qu'en réservant pour passer une nuit sur le site dans une cabane en rondins faite pour 6.
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Cinématon est un film expérimental français de Gérard Courant, dont le tournage a débuté le 7 février 1978 et qui est toujours en cours en 2020. Il est aujourd'hui composé de 3119 portraits filmés de personnalités du monde des arts et du spectacle qui, mis bout à bout, ont une durée totale de 208 heures. Tous les portraits sont filmés selon les mêmes règles: un Cinématon est un plan-séquence fixe muet de 3 minutes 20 secondes dans lequel chaque personne filmée est libre de faire ce qu'elle veut.
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Dans ce livre, Claude Serre ( 1938 / 1998 ) nous fait part de sa vision de la mort de facon ironique. Ce livre a été édité aux éditions Glénat. Dans celui-ci nous pouvons trouver de nombreuses illustrations.
Il a consacré 50 ans de sa vie au dessin et a participé à de nombreuses expositions ( Berlin 1964 ) -
Inspiré des ombres chinoises, le Théâtre d’ombres apparaît chez Boltanski de 1984 à 1997.
On y voit l’ombre portée de figurines en métal comme de petits pantins; ombres dansantes, plutôt joyeuses qu’inquiétantes, souvenirs des jeux et des peurs délicieuses des enfants pétris de mysticisme.
Ce « théâtre d’ombres », dans sa légèreté et sa gravité, est proche de la danse macabre, tradition chrétienne vivante dans l’Europe du Moyen Age, ainsi que des créations mexicaines pour la fête des Morts. -
En 1985-1986, Jean Olivier Hucleux oriente ses recherches vers le dessin à la mine de plomb : il réalise tout d'abord son autoportrait et prépare pour la Foire internationale d'art contemporain (FIAC) de 1987, à la galerie Beaubourg, une série de onze portraits dessinés. Il poursuit la série des portraits dessins en vue d'expositions programmées en 1991.
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Supports/Surfaces est un mouvement artistique fondateur de l'art contemporain français , en peinture et en sculpture. Dès 1966, le support traditionnel est remis en question : Buraglio récupère des morceaux de toile, cadres et châssis et des éléments de fenêtre qu’il assemble. À partir de 1974, Pierre Buraglio met en œuvre les «Châssis» et les «Cadres». Claude Viallat: « Dezeuze peignait des châssis sans toile, moi je peignais des toiles sans châssis et Saytour l'image du châssis sur la toile. »
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Tony Cragg récupére divers objets et détritus qui serviront comme autant d'éléments de recyclage à l'élaboration de ses oeuvres. Ses collectes le conduisent à imaginer puis à installer diverses compositions figuratives colorées. Il met en place des compositions fragmentées, en respectant comme ici la tradition de l'accrochage à la verticale sur un mur d'exposition. L'artiste s'inspire ainsi du mouvement perpétuel de la société de consommation qui produit, consomme, jette et recycle les objets.
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JoJo's Bizarre Adventure (ou JoJo no kimyō na bōken en version originale) est une série de manga de Hirohito Araki prépubliée depuis 1986. Divisée à ce jour en huit parties se répartissant sur plus de 125 volumes, cette œuvre narre les aventures de la lignée Joestar à travers les générations et leur combat contre les forces du mal, dont un vampire immortel ou encore des divinités en quête du pouvoir suprême.
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L'œuvre, qui occupe 3 000 m2 de la cour, est constituée d'un maillage de 260 colonnes faisant écho à celles alentours. Les cylindres sont introduits dans cet espace, de façon dynamique, avec des hauteurs variables. L'oeuvre in-situ est en 2 plans: le 1er «plateau» au niveau de la cour est formé par les sommets alignés des colonnes implantées dans l’espace central; le 2d «plateau» en sous-sol est constitué de trois tranchées creusées dans lesquelles des colonnes de hauteur égale ont été placées.
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Dans leur vidéo «The Way Things Go», les 2 Zurichois créent une réaction en chaîne sous la forme d’un domino dans un entrepôt vide au moyen d’objets aussi hétéroclites que des ballons, échelles, pneus, feux d’artifice. Des mois de préparation, de répétitions. C’est l’illusion du mouvement perpétuel maintenu sans la moindre intervention humaine. La scène a été tournée sur une période de deux ans et résulte d’un montage élaboré de multiples séquences. L'oeuvre éphémère n'a jamais été reproduite.
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Film expérimental suisse de 33min, Le Cours des choses est sorti en 1988 et présente une suite d'événements enchaînés par un effet domino dans lequel il y a des réactions chimiques; flammes et nombre de matériaux de récupération sont de mise. Der Lauf der Dinge est tourné dans un hangar, sur une pellicule 16mm.
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Calvin Nicholls est un artiste canadien qui travaille le papier. Depuis 1986 il crée de magnifiques sculptures en papier et a même créé une exposition appelée "Paper zoo". En effet, il a rendu hommage à la faune des cinq continents en fabriquant de superbes portraits d'ours, de renards, d'oiseaux.. La plupart de ses sculptures sont en 3D et d'une extrême précision. En effet il a reproduit des ailles d'oiseaux, des moustaches..
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Plongée dans une semi obscurité, l’atmosphère intime créée autour de l’œuvre favorise le recueillement. Des photographies floues d’enfants anonymes, éclairées par de petites lumières, sont disposées sur un mur de boîtes à biscuit en fer blanc dont certaines plus rouillées que d'autres témoignent de l’usure du temps. Cette installation émouvante évoque les victimes de la seconde guerre mondiale mais aussi la nostalgie qu’on peut éprouver en s’éloignant de l’enfance.
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Description du dispositif de présentation: plongée dans une semi obscurité, l’atmosphère intime créée autour de l’œuvre favorise le recueillement. Des photographies floues d’enfants anonymes, éclairées par de petites lumières, sont disposées sur un mur de boîtes à biscuit en fer blanc dont certaines plus rouillées que d'autres témoignent de l’usure du temps. Cette installation évoque les victimes de la 2nde guerre mondiale mais aussi la nostalgie qu’on peut éprouver en s’éloignant de l’enfance.
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L'oeuvre se compose de 9 toiles suspendues parallèlement les unes aux autres au plafond. Deux projecteurs à chaque extrémité de la rangée de canevas montrent des images d'un homme et d'une femme marchant l'un vers l'autre, se croisant au centre et s'éloignant. Cette action fantomatique devient hypnotique, se répétant encore et encore. Neuf toiles souples, cadres rectangulaires, évoquant plus 9 voiles transparents et fragiles que la solidité, associées à des projections quasi immatérielles...
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Dans les "One Minute Sculptures", des objets variés, parfois curieux + des modèles dociles sont associés les uns aux autres ou à des éléments architecturaux, en intérieur ou en extérieur, pour former des sculptures provisoires, reposant sur un équilibre précaire, qui laisse en suspens la catastrophe imminente et programmée. La série du MNAM décline ce concept global (et rétrospectif) de sculpture éphémère, initié dès la fin des années 1980 et incluant également dessins (instructions) et vidéos.
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Le parti pris architectural est une traduction moderne et monumentale de l'architecture vernaculaire de l'île insérée dans son environnement, s'étendant sur 8 ha.
L'intégration des formes, des couleurs et des matériaux utilsés dans l'environnement est parfaite ! -
Ce vitrail, créé en 1998 par Gérard Garouste et installé avec le reste des vitraux de la série à Notre-Dame de Talant (21, agglomération dijonnaise), représente l'Homme et l'Arbre de la Connaissance, cités dans la Genèse de la Bible. Il montre la création de la vie humaine et fait un parallèle de ces deux entités.
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James Corbett est un artiste Australien qui crée des sculptures à partir de pièces détachées automobiles. Il travaille dans un premier temps dans une casse où il redonne vie à des morceaux de voitures trouvés sur place. En 1999, il expose pour la première fois ses oeuvres dans un salon de Brisbane. Il acquière ensuite une certaine renommée et se consacre pleinement à sa vie d'artiste en 2000.
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Le rideau de scène du nouvel Opéra de Shanghai, toile géante de 22 m sur 14 m, a été inauguré le dimanche 15 novembre 1998, à l'occasion de la première représentation de la co-production franco-chinoise du Faust de Gounod. Son créateur, Olivier Debré, l'un des maÎtres français de la peinture contemporaine, s'était spécialement déplacé au Grand Théâtre de Shanghai à cette occasion. Véritable performance physique face à une oeuvre monumentale, nécessitant des gestes associés à de nouveaux outils.
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Cet artiste est un sculpteur britannique. En 2008, il ouvre un parc de sculptures à Wuppertal, en Allemagne. En 2011, le musée du Louvre invite Tony Cragg à exposer ses sculptures à Paris. Cette œuvre, "Cumulus" est un assemblage d'objets en verre ( vases, bouteilles, bols, verres...)
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Miyazaki célèbre dessinateur, réalisateur et producteur japonais cofondateur du Studio Ghilbi.
C'est un film d'animation m'étant en scène deux petites filles vivant à la campagne avec leurs père. Les deux protagonistes vont peu a peu découvrir la nature qui les entoure ainsi que l'existence de créature merveilleuses. -
Outre son échelle inhabituelle, sa nudité, son regard que nous pouvons croiser, ce "géant" nous semble bien seul, inoffensif, doux, voire même vulnérable...
Sa présentation à l'intérieur de l'espace d'exposition y est certainement aussi pour quelque chose.
C'est là que le choix de la disposition de l'oeuvre peut avoir son importance: à l'abris, comme reclu dans un angle de la salle d'exposition, cet étrange personnage attend que nous venions à sa rencontre ou cherche encore à s'isoler... -
Tim Noble et Sue Webster sont des artistes britanniques qui travaillent et vivent ensemble. Ils se sont rencontrés en 1986 alors qu'ils étudiaient les beaux-arts à l'Université de Nottingham Trent. Ils réalisent des "sculptures-ombres" dans lesquelles ils utilisent des déchets qui sont ensuite éclairés afin de créer des portraits. Les jeux d'ombre et de lumière créés élèvent la matière première utilisée au rang d'objet d'art !
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Princes et Princesses est un film d’animation française créée par M. Ocelot aussi à l'origine de Kirikou et la Sorcière. Ce long métrage est composé de 6 épisodes (histoires ou contes) indépendantes mais toute liées d'une manière. L'animation est particulière, puisqu'elle est créée grâce à la mise en mouvement de bouts de papiers noir sur un fond coloré. Cela donne l'impression que ce sont des ombres et ça rend le tout plus vivant.
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Sculpture figurative installée sur un socle. Ses dimensions, supérieures à l’échelle humaine, interpellent. L’artiste joue sur des changements d’échelle surprenants, amplifiant l’écart entre l’original et sa reproduction. Le support permet au spectateur d'avoir un point de vue distant à l'oeuvre, sans toutefois être trop éloigné et ainsi voir les détails. Il fait vivre l'œuvre et lui donne du sens lorsque il se place près d'elle : sa taille accentue l'échelle sur-dimensionnée de la sculpture !
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Un beau film documentaire sur l'artiste sculpteur Andy Goldsworthy, qui consacre son oeuvre depuis 25 ans à travailler dans la nature où il puise ses matériaux. Nous suivons ce land artist et l'accompagnons dans ses créations. La captation vidéo, parfois en temps réel, met bien en avant le caractère éphémère de son oeuvre, ainsi que la fragilité de certaines de ses réalisations, voire même les échecs de l'artiste... Quel meilleur support pour enregistrer une trace de ces créations extérieures ?
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Révolte de Soweto du 16/06/1976: manifestation d’écoliers, de lycéens noirs réprimée dans le sang par la police blanche de l’apartheid. Une photo fera le tour du monde, celle d'Hector Petersen, 12 ans, que l’on voit sans vie dans les bras d’un homme. Pignon-Ernest va la reprendre en la transformant, tout en l’incluant en médaillon. La différence : le mourant a été fauché par le sida et il est dans les bras d’une femme droite et digne qui architecture le dessin. Collages dans Soweto et Durban.
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Robert Bradford est un artiste anglais qui réalise des sculptures à partir de jouets qu'il récupère, ainsi que de peluches.
L'idée lui est venue en regardant les coffres à jouets de ses enfants, remplis de vieux jouets dont ils ne se servaient plus.
Il crée beaucoup de sculptures représentant des chiens, dont l'une s'est vendus dans les environs de 13 000 euros. -
En recyclant de manière artistique et en présentant des objets de notre quotidien dans une composition en référence au Roi Soleil, Bernard Pras les associe à une forme de gloire. Les produits sont eux-mêmes, élevés au rang « royal », ce qui peut nous faire penser à une critique de la société dans laquelle la consommation a pris aujourd'hui un pouvoir absolu. C'est aussi un travail contemporain jouant sur la notion de point de vue, réutilisant le bon vieux principe de l'anamorphose...
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Film documentaire du réalisateur Werner Herzog sur le bouddhisme tibétain. Le titre fait référence au rituel du mandala de sable Kalachakra qui fournit une image récurrente pour le film. L'achèvement est-il une fin en soi ? Le travail est détruit pour montrer que rien ne dure éternellement. Au final, les sables colorés sont jetés dans l'eau, le récipient les contenant est lavé pour éliminer toute trace qui pourrait subsister. La seule chose de valeur qui reste est l'expérience. A méditer...
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C'est un film réalise par Joe Dante, produit par les studios Warner Bros, sortie sortie le 10 décembre 2003. C'est un film qui met en scène les Looney Tunes, des personnages fictifs venant de la célébré série d'animation pour enfant "Looney Tunes". Dans ce film, les personnages fictifs restent lié à ce côté fictif justement en étant dessiné en 2D et en interagissant avec des acteurs dans la réalité. Le mélange de la réalité et de l'animation 2D rappelle que le fictif est une part de la réalité.
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On y voit une volière géante où jouent - ou jouaient - 45 enfants, à la marelle, au toboggan, au poirier, aux billes, leurs petits cartables posés sur le sol, leurs tabliers à carreaux encore boutonnés. Enfants-mannequins faits de chiffons et de céréales, inanimés, mais comme vivants. Pas tous pourtant, car il ne reste de certains qu'un short, des baskets. Parce que l'enclos est également une volière peuplée de 150 pigeons, de vrais pigeons qui peu à peu picorent, dévorent les enfants-céréales.
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L'artiste Ron Mueck ne met jamais en scène des représentations d’échelle conventionnelle. Tout comme les personnages de Gulliver’s Travels, les figures de Mueck sont monumentalement augmentées ou considérablement réduites.
L'effet, comme dans le cas de "Two women", intensifie l'aura physique et émotionnelle de ses figures.
La minuscule stature des femmes crée une tension entre artifice et réalité qui suscite une réponse viscéralement empathique du spectateur. -
Comment résister à l'envie de traverser cette couleur pure dématérialisée créée par Ann Veronica Janssens ? Son oeuvre « Lee 121 », présentée de septembre 2005 à janvier 2006 à la Biennale de Lyon désoriente totalement le visiteur et l’oblige à prendre le temps de s’y retrouver. Le temps que nous y passons, notre propre parcours à l'intérieur, notre relation à cet espace font partie intégrante de l'oeuvre, nous sollicitant et nous invitant à nous déplacer sans repères dans cet environnement.
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Une biennale est un événement qui a lieu tous les deux ans. Cette année là, la Biennale de Lyon regroupait des oeuvres d'artistes du monde entier, réunies autour d'un fil rouge: la question de la temporalité... Quoi de mieux qu'une exposition elle-même temporaire, que la monstration de quelques oeuvres éphémères pour réfléchir là-dessus ?!
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"Robots" est un film d'animation américain de Chris Wedge et Carlos Saldanha sorti en 2005 et produit par les sociétés 20th Century Fox et Blue Sky studios. Il raconte l'histoire de Rodney, un jeune robot plein d'ambition qui décide de partir à Robot Ville rencontrer Bigweld, un grand inventeur, pour lui proposer ses idées. Dans ce film tout les robots sont fait de pièces détachées et certains sont menacés de se faire recycler pour créer de nouvelles pièces.
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Dragons (ou Une Légende Dragons en trois dimensions) est un livre à destination des enfants dont les illustrations constituent le principal intérêt: comme l'indique le titre, les six pages qui les accueillent sont en plusieurs plans superposés, créant ainsi une illusion de trois dimensions.
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Le time lapse est une technique photo qui permet de réaliser une vidéo en accélérée avec un appareil photo en prenant une grande quantité d’images prises à intervalles réguliers.
Il en existe deux versions rendant compte de tout le travail de Ron Mueck et de ses assistants pour la conception de l'oeuvre "A Girl".
A l'occasion de son exposition dans ses murs en 2007, le CACMalaga a eu la très bonne idée de réunir les deux dans un dvd... -
Cette artiste, Veronika Richterova donne une nouvelle vie aux vieilles bouteilles en plastiques. Avec diverses méthodes, elle fabrique différentes formes translucides ( crocodile, fleurs, papillons...). Elle a créé un exposition appelée "océan pacifique". Elle a également récupéré plus de 3000 objets en plastiques de 76 pays différents. Cette femme a écrit un livre intitulé "pet-art fauna flora ; plastiky z pet lahví z" où elle explique l'histoire et l'utilisation du plastique.
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Michel Blazy est un artiste qui utilise des matériaux pauvres ou du quotidien pour réaliser ses sculptures et installations. Les œuvres qu'il réalise sont temporaires. En effet il utilise de la nourriture pour certaines de ses œuvres comme celle-ci : "Bar à orange". Il a réalisé un lieu où il a exposé toutes les sculptures et installations qu'il a fait, les a pris en photo et a crée un livre qui s'appelle "Le Grand Restaurant".
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Matthew Robertson est un peintre considéré comme psychédélique même s'il se démarque de ce style avec ses peintures représentant des animaux la plupart du temps. La tortue est l'une de ses oeuvres.
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Cette toile a pour but de représenter le temps qui passe.
Pawel Kuczynski est un artiste polonais dîplomé des Beaux Arts. Il exerce ses talents en dénonçant la triste réalité de notre société. Ses illustrations satiriques ont souvent été récompensées depuis 2014. Il met le doigt avec légèreté et humour sur les problèmes qui nous entourent au quotidien. -
Contraste très fort ! La violence d'une grenade à fragmentation associée à la douceur sucrée des Smarties... Le métal froid de l'arme, plutôt dans des valeurs de gris, face au chocolat enrobé de sucre coloré ! La guerre face à l'innocence de l'enfance... Et le tout présenté tel un objet d'art, un objet rare, peut-être aussi comme un objet que l'on ne peut plus saisir et utiliser, exposé, enfermé dans une vitrine en plexiglas...
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Ils sont célèbres pour leurs "sculptures-ombres" dans lesquelles ils utilisent des objets mis au rebut, des déchets qui sont ensuite éclairés afin de créer par exemple leur autoportrait. Les jeux d'ombre et de lumière créés élevant la matière première utilisée au rang d'objet d'art !
Ils sont partis d’une idée simple: utiliser des déchets produits par l’homme pour réaliser des sculptures à messages. Ce n’est que leur ombre, projetée sur un mur blanc et selon un certain angle, qui révèle tout. -
Entrant dans la nef, on doit contourner un mur de boîtes rouillées numérotés. Que contiennent-elles ? L'imagination est, dès le début, sollicitée. On arrive ensuite dans une immense salle: par terre, 42 rectangles de vêtements rangés à plat . On peut y déambuler. Au sommet de poteaux, est diffusé le son de battements de cœurs de personnes différentes: souvenirs de ces gens. Au bout de cet espace, un monticule gigantesque de vêtements. Au-dessus, une grue, infatigable en prend et en rejette...
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Cette artiste est peu connue mais a réalisé un travail énorme. En réutilisant des bouchons de bouteilles en plastique, elle a réalisé son autoportrait. Mary Ellen Croteau a réuni des bouchons de couleurs et de tailles différentes, qu’elle a utilisé en les plaçant chacun à l’endroit idéal. En superposant les bouchons, elle est parvenue à créer des dégradés et des ombres, elle a su aussi restituer l'impression de volume et les nuances d’un portrait peint. Cette œuvre est intitulée "Close".
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Totem, sculpture épurée, jouet monumental à forte connotation érotique flottant entre ciel et terre, dans l’espace de la galerie, semblable à une icône ou une divinité. Nous restons fascinés par cette bombe gigantesque, qui semble flotter en apesanteur, affichant fièrement sa couleur: Chanel 217. Le présentoir en plexiglas transparent, lui permet de rester "suspendue" au-dessus de son très classique socle en bois, resté plus bas, au sol. Contraste de couleurs, matériel Vs immatériel...
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Depuis plus d’une décennie, l’artiste californien Jim Denevan travaille avec le sable, il grave des œuvres d’art géométriques élaborées sur les plages du monde entier en n’utilisant qu’un râteau ou un bâton trouvé. Celles-ci ne durent que quelques heures, ou commencent même à disparaître pendant qu’il travaille car les marées effacent rapidement chaque conception. Ses œuvres ont été filmées ou prises en photo et ont fait l'objet d'un documentaire qui est sorti en 2011, appelé "Art Hard".
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Installation composée à la fois de sculptures travaillées par la mer ou le temps, et de photographies documentaires de milliers d'objets et de fragments. Isolément, chacun d'entre eux n'a aucune valeur et ne mériterait même pas notre attention. Vestiges et vertiges du classement, de la liste, du répertoire, les petits détritus rejetés par la mer sont récupérés puis classés, organisés par taille, par couleur, par fonction avant d'être photographiés un par un et disposés rigoureusement sur le sol.
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Réalisée à l'occasion de l'exposition monographique de Julio Le parc au Palais de Tokyo en 2013, cette installation est une variante de l'oeuvre originale "Cercles virtuels par déplacement du spectateur" créée en 1965. Impression d'une trame simple en noir et blanc collée sur les parois intérieures d'une structure en bois et acier dont les formes géométriques et mouvement sont produits par les reflets. Des effets de mouvements sont également créés par le déplacement du spectateur.
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Ali Zülfikar Doğan, est un artiste allemand né en 1970 qui cherche à représenter dans son art l'écoulement du temps. Ainsi avec sa technique du "crayon sur toile" il dessine des portraits de personnes âgées vieillies à l’extrême avec des visages portant les marques des années passées qui ont eu raison de leur jeunesse. Il nous fais comprendre la limite de l'existence en poussant dans un style très réaliste l'homme au dernier stade de son existence. Il a participé a plus de 160 expositions.
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La Fondation Cartier pour l'art contemporain invita le sculpteur australien Ron Mueck à présenter ses œuvres émouvantes et troublantes, marquant son grand retour institutionnel en Europe.
Exposition personnelle la plus complète et la plus actuelle de la production de l'artiste. Ces œuvres, révélées dans l'intimité de leur création à travers un film inédit, réaffirment toute la modernité d'un art à fleur de peau, aussi puissant qu'évocateur.
Ce making-of retrace la mise en place de l'exposition. -
9 séries, conceptuellement autonomes, sont présentées selon une structure modulaire, l’exposition devenant ainsi une “exposition d’expositions”. Un 10e projet, “Camouflages” – une série de portraits, inspirés des chefs-d’œuvre de la peinture, intégrant des éléments de la physionomie de l'artiste – qui donne son titre à l’exposition, est “camouflée” dans les différents espaces d'exposition. Il crée une réalité factice, voire fantaisiste, en la présentant sous une forme tout à fait crédible.
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La tagline présente sur l’affiche ne ment pas : "One girl. One city. One night. One take". Victoria est un polar fleuve en temps réel (134 mn) dont la particularité est d’avoir été tourné en un seul plan séquence. L’argument du plan séquence virtuose (avec des plans qui parfois semblent pourtant impossibles) pourrait n’être qu’un gadget, mais c’est le principal attrait de ce polar en temps réel où l'on suit une action continue se passant de 5h42 à 7h56. ATTENTION: ACCORD PARENTAL SOUHAITABLE !
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Jane Perkins est une artiste qui reproduit des œuvres d'arts célèbres telle que La Joconde à partir d'objets qu'elle trouve un peu partout.
Jane Perkins étant une ancienne couturière, les objets qu'elle récupère sont principalement des objets de couture comme des boutons ou des perles. -
Le graffeur El Seed a signé une anamorphose géante sur plus de 50 bâtiments dans le quartier de Manchiet Nasser, au Caire. En apparence abstrait, le mélange de graff et de calligraphie arabe cache une signification écologique. On peut lire la phrase : « Si quelqu’un veut voir la lumière du soleil, il faut qu’il se frotte les yeux. » Cette citation d’Athanase d’Alexandrie résume l’objectif d’El Seed : « mettre la lumière » sur l'organisation de la gestion des déchets de la ville.
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Kevin McShane est un dessinateur de cartoons qui a décidé de rendre hommage à ses prédécesseurs. Il a souhaité se dessiner 100 fois, dans 100 styles différents, retraçant le style bien particulier des artistes de dessins animés, séries et bandes-dessinées. Impossible de ne pas retrouver l'oeuvre d'originale une fois le portrait sous le nez. À moins, bien sur, que vous ne connaissiez pas la dite oeuvre...
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Cette installation rassemblant la COLLECTION des 4 sculptures monumentales de l’artiste contemporain Philip Haas furent visibles au Château des Baux-de-Provence le temps d'une exposition, de mai à septembre 2017.
Mesurant 5 mètres de haut et pesant chacune 400 kilos, ces sculptures de têtes géantes sont inspirées des fameuses "Quatre saisons" de Giuseppe Arcimboldo.
Philip Haas est fasciné par l’idée de transformation d’échelle des éléments qui modifie la perspective du spectateur. -
Kells O’Hickey est un illustrateur américain du Minnesota. De la même manière que Sam Skinner et Kevin McShane il a redessiné une photo de son couple en reprenant 10 styles de dessins animés différents. Il a ensuite offert le tout à sa fiancée pour Noël. Il a pris le temps de dessiner et de mettre en couleurs ses oeuvres à la main sur papier.
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Jason Mercier est un artiste américain qui tout comme Jane Perkins crée des œuvres avec des déchets, à la différence près que Jason Mercier utilise des objets venant de lieux et d’utilités plus variées que Jane Perkins. De plus il représente des stars, des personnalités, avec principalement les déchets des consommations de celles-ci. Ainsi, Lady Gaga ou Amy Winehouse sont représentées dans ces tableau aussi beaux que surprenants.
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Sam Skinner est une jeune artiste qui à 24 ans a décidé de se lancer un petit défi. Afin d'augmenter ses compétences en dessin, la jeune femme prend le pari de parvenir à se dessiner dans 50 styles différents. La partie la plus difficile fut de choisir les personnages qui allaient être recréés. D'une liste de 100 personnages, Sam a dû trancher pour n'en garder que la moitié. Les oeuvres les plus compliquées à réaliser furent celles de Tim Burton, Gorilazz et Archer. Un an de travail au total !
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John Lopez est un sculpteur américain né en 1971. Il utilise des matériaux de récupération, notamment de vieux outils agricoles pour réaliser des scènes racontant l'histoire des cow-boys d’Amérique. Il est aussi à l'origine de nombreuses commandes comme des statues de présidents ou autres sculptures toutes réalisées à taille réelle. Ici est présenté son projet intitulé "Steampunk Owl" qui fut exposé de Septembre à Août 2017 à la galerie Kokomo à Lemmon sur la rue principale à Lemmon aux USA.
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Felice Varini est un artiste Suisse né le 6 mars 1952. Il est célèbre pour ses sculptures contemporaines utilisant le principe d'anamorphose qui oblige le spectateur à explorer le lieu où elle est exposée.L'artiste est souvent sollicité pour décorer des monuments.Ici il a décorer pour fêter le 20e anniversaire de l’inscription de la cité de Carcassonne au Patrimoine mondial de l’Unesco.
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Artur Bardalo est un artiste peu connu mais réalise un travail fascinent. En effet, il fabrique des sculptures à partir des déchets des hommes. Il a construit une exposition appelée "street artist Bardalo II" où l'on trouve des sculptures de différents animaux: ours, hibou, et ici un lion. Cet artiste de 31ans décide de créer cela afin de sensibiliser les autres au réchauffement climatique, à la pollution, à la déforestation, à la pénurie d'eau, à l'extinction massive de certaines espèces...
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Bohemian Rhapsody est un film biographique britannico-américain coproduit et réalisé par Bryan Singer, sorti en 2018. Il s’agit du portrait romancé et parfois inexact du chanteur de rock britannique Freddie Mercury et de son groupe Queen. Il revient ainsi sur le parcours du groupe, de sa formation en 1970 jusqu'à son apparition au concert Live Aid en 1985.
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Autour de sa propre collection de 5 tableaux, la plus importante au monde – la Joconde restera toutefois exposée dans le parcours des collections permanentes – et de ses 22 dessins, le Louvre propose près de 140 oeuvres (peintures, dessins, manuscrits, sculptures, objets d’art) issues des plus prestigieuses institutions européennes et américaines. Affiches, teasers, réseaux sociaux, site officiel, spots TV, entrées gratuites, tout les moyens sont bons pour communiquer autour d'un tel évènement.
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Dans le cadre du festival de street art "Peinture Fraîche" de mai 2019, l'artiste bruxellois Wenc et les membres de l'association " Quartiers Capucins Lyon les pentes" ont sorti leurs bombes de peinture pour transformer ce passage relativement étroit, reliant les rues Burdeau et René-Leynaud. Les motifs aux tons bleu, jaune et blanc qui viennent sublimer le lieu sont visibles par les passants seulement après avoir descendu l'escalier et s’être retourné, certains ne les remarquent même pas !
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Chaque grande exposition nationale, voire internationale propose toutes sortes de produits dérivés. Le grand classique est le volumineux catalogue d'exposition richement illustré. Celui-ci revient sur 10 années de travail, ayant vu l'examen scientifique des tableaux du Louvre et la restauration de 3 d’entre eux, permettant de mieux comprendre la pratique artistique et la technique de l'artiste. L’exposition clarifie également la biographie de Léonard en reprenant tous les documents d’archives.
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Cet artiste a réalisé de nombreuses fresques géantes et éphémères. Celle-ci symbolise l'amitié entre la Suisse et la France et est située non loin de la frontière avec la France. Dans le domaine de la peinture sur herbe, Guillaume Legros ( Saype ) réalise ses œuvres avec un produit 100% biodégradable qu'il prépare à base de pigments naturels. Quatre jours et près de 1000 litres de peinture ont été nécessaires pour cette œuvre. Elle se situe à plus de 1970 mètres d’altitude.
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Les collections permanentes restent toujours visibles. Assez généralistes, parfois propices à la vulgarisation, certaines sont destinées à un public familial. Ainsi notre musée Niépce local propose des visites commentées en famille, des visites adaptée aux enfants de 6 à 12 ans: un parcours convivial et en famille au cœur des collections permanentes agrémenté de démonstrations et jeux d’observation à destination des plus jeunes pour une meilleure compréhension de l’histoire de la photographie.