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Dans un mouvement appelé "les grandes découvertes", les portugais découvrent qu'il y a une extrémité à l'Afrique et franchise le cap de Bonne Espérance pour entrer dans l'océan indien. (on a des traces de passage d'arabes et de chinois auparavent).
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un génois découvre les amériques : Christophe Colomb
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musique militaire avec les cuivres, les vents, les percussions
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La France possédait alors Madagascar, île Rodrigues et l'île Bourbon, mais elle s'implanta alors surtout à Fort Dauphin, les conditions de vie et sanitaires étant difficile, le gouverneur trouva bon d'exiler les troublefetes à l'île Bourbon.
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La France possédait alors Madagascar, île Rodrigues et l'île Bourbon, mais elle s'implanta alors surtout à Fort Dauphin, les conditions de vie et sanitaires étant difficile, le gouverneur trouva bon d'exiler les troublefetes à l'île Bourbon.
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Depuis Fort Dauphin débarquement à Saint-Paul, 3 femmes, 9 hommes (2 français, 7 malgaches), les malgaches ont fuit. Les bourbonnais les plus anciens de l'île Bourbon sont donc des malgaches rebels.
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Une trentaine de personnes au totale sur l'île alors.
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La population grandit lentement passant d'un trentaine à 700 personnes, dans les femmes 1/5 de françaises 2/5 d'indo-portugaises et 2/5 de malgaches, beaucoup de pirates (anglais, hollandais, italiens) dans les chefs de familles (1 sur 4).
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à la Réunion, qu'il soit rural, populaire, ou mondain, le bal attire toutes les couches de la société dès le début du XVIIIème siècle.
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On se dit à Paris qu'il faut rentabiliser l'île Bourbon, seulement rien n'est exploitable, rien n'a vraiment de valeur. Le climat tropical est cependant propice à FAIRE POUSSER DES PLANTES VENUES D'AILLEURS.
1720 : faire pousser des plantes venues d'ailleurs, à forte valeur ajoutée. Introduction du café (d'Arabie), et des esclaves venus d'Afrique (comme aux antilles), Production massive, exportée de l'île pour des marchés que la France ne maîtrise pas. -
30 000 habitants sur l'île dont 22 000 esclaves en 1767.
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Bourbon était le nom de la famille royale et après la révolution il fallait marquer la démocratie.
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Réunion est de nouveau nommée Bourbon, l'isle de France, Mauritius et Rodrigues.
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L'importation d'esclaves est réprimée fermement dorénavant
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hotel au départ, il se transforme en salon de bal "select" en 1940. jules Arlanda, Serge Barre, Armand Tropina, Claude Vinh San.
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L'île est rebaptisée La Réunion
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Peu à peu, les danses de salon nées dans la bourgeoisie, pénètrent diverses couches sociales et deviennent populaires à l'approche du XX ème siècle; D'abord instrumentales, les musiques de danses deviennent progressivement des chansons, chacun y collant ses propres paroles.
Au milieu du XIXe siècle, la prospérité économique de l’île a permis une plus grande diffusion du qua
On initie des ménestriers, descendants d'esclaves, aux musiques européennes pour fournir la demande de bals grandissante. -
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C'est une appellation du début du XXéme siècle pour désigner le séga qui se formalise et se généralise grâce à Georges Fourcade, au sein des salons de bals de la bourgeoisie réunionnaise. Ce style musical se caractérise par des paroles en créole, agencées en couplets/refrains, sur des rythmes hérités des quadrilles créoles.
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Ces orchestres animent les bals des mariages et fêtes communales, mais aussi le carroussel des enfants. Dans les années 1950, boléro et rumba et chansons de variétés viennent remplacer les vieilles danses européennes.
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En 1909, un service radio électrique dépendant des PTT est installé à La Réunion.
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Le gramophone servant principalement à diffuser des musiques européennes, va frapper de plein fouet les musiques et danses locales. Jusqu'aux années 1950 toutefois, les bals populaires participent à la sauvegarde de ce patrimoine.
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Recevant de Bordeaux, il émet jusqu'à Mahébourg à Maurice ou encore Tamatave à Madagascar.
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Initié tout d'abord au violon par sa grand-mère, il entre à l'école de musique où il apprend à jouer des danses de salon telles que la valse, la polka ou encore le quadrille. Il intègre ensuite l'orchestre symphonique de Saint-Denis et crée un orchestre de séga avec Jules Arlanda.
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La radio diffusion française voit le jour à Saint-Denis en 1936.
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« Notre but simple et humain, est de permettre aux masses de la jeunesse française de trouver dans la pratique des sports, la joie et la santé et de construire une organisation des loisirs telle que les travailleurs puissent trouver une détente et une récompense à leur dur labeur. » (Léo Lagrange, sous-secrétaire d'État à la jeunesse et aux loisirs, lors d'un discours radiodiffusé, le 10 juin 1936).
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Abdul Hack Affejee
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Avec l'élection de De Gaulle à la présidence
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De nouvelles valeurs apparaissent. Elles sont notamment centrées autour de l'autonomie, la primauté de la réalisation personnelle, la créativité, la pluridisciplinarité et la valorisation de l'individu impliquant le refus des règles traditionnelles de la société et la remise en cause de l'autorité. La redéfinition de nouvelles règles se construit autour de l'idée d'autogestion et du communautarisme.
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